Coignard –
Islamisme : l’insupportable déni de gauche
CHRONIQUE. Le
mot « islamisme » ne parvient pas à faire partie du vocabulaire de
certains candidats, même quand il s’impose d’évidence. Inquiétant !
Est-ce
le résultat d'un calcul électoraliste ? Ou l'expression sincère d'un déni
incompréhensible ? Hier dimanche avait lieu, à Toulouse, l'hommage aux
victimes d'un terroriste islamiste dont le nom ne mérite pas d'être mentionné.
Le bilan de son carnage : trois militaires, Imad Ibn Ziaten, Abel Chennouf
et Mohamed Legouad, assassinés le 11 mars 2012 ; Arié Sandler,
6 ans, et son père, Jonathan Sandler, abattus le 19 mars 2012 sur
le chemin de l'école juive Ozar Hatorah, puis Myriam Monsonégo, 8 ans, et
Gabriel Sandler, 3 ans, massacrés à bout portant dans la cour de
récréation du même établissement quelques minutes plus tard.
Emmanuel Macron était présent à la cérémonie de Toulouse, avec ses
deux prédécesseurs et le président israélien Isaac Herzog : « Ce
jour-là, pour la première fois en France, une école était le champ de bataille
du fondamentalisme islamiste », a-t-il déclaré. Anne Hidalgo était elle
aussi présente à Toulouse pour la cérémonie du Crif « en mémoire des
victimes des attentats terroristes islamistes de mars 2012 », comme elle
l'écrit sur Twitter.
La scène honteuse du « pantin Macron »
« Ne jamais rien céder au terrorisme et à
l'antisémitisme », exhorte Yannick Jadot dans un message de commémoration.
Terrorisme, d'accord, mais islamiste, ce serait trop dire pour le candidat
écologiste ? Il est vrai que son ancienne rivale à la primaire, qu'il a
battue de peu, l'ineffable Sandrine Rousseau, opère elle aussi un raccourci
saisissant : « Il y a dix ans, l'antisémitisme tuait. Aucun
oubli », écrit-elle, comme si elle ignorait que trois militaires, non
juifs, avaient également été assassinés. Il lui paraît d'évidence impossible
de parler d'islamisme, formulation plus juste. L'islamisme, au cas où
cette professeure d'université l'ignorerait, est toujours antisémite, mais recouvre
bien d'autres formes de haine.
C'est dommage, car il est difficile, sinon impossible, de
combattre ce que l'on ne peut pas nommer. Jean-Luc Mélenchon n'est pourtant pas
avare de mots, ni dépourvu de vocabulaire. Mais cet amoureux de la langue française
déploie pour la circonstance un langage aussi fruste que celui de Yannick
Jadot, exactement la même phrase : « Ne jamais rien céder au
terrorisme et à l'antisémitisme. »
Mais il y a pire. Le plus pitoyable, pour le candidat Insoumis,
c'est que l'encre de son message était à peine sèche quand une poignée de ses
militants se livraient à une guignolerie pathétique. Lors de sa « marche
pour la VIe République », à Paris, quelques zozos de son
obédience ont procédé au lynchage d'un pantin à l'effigie d'Emmanuel Macron. Un
pantin dont personne ne pouvait ignorer qu'il arborait un nez crochu, comme les
pires caricatures antisémites.
C'était donc dans le cadre d'un défilé de soutien à Jean-Luc
Mélenchon, afin de… le « hisser au second tour », comme l'a dit un de
ses lieutenants, qu'a eu lieu ce sinistre épisode
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Islamisme ce mot que des
soi-disant bien-pensants pratiquants le politiquement correct hypocrite ne veulent
pas en parler ou voulant le cacher et que certains médias censure quand il
figure dans certains commentaires de forum médiatique divers !
Depuis la fin de la guerre d’ALGERIE
si inutile en 1962 comme avoir voulu la garder française ce pays issu de nos ex-colonies
d’Afrique du Nord et même celles de l’ex AOF/AEF facilement devenues indépendantes
que malheureusement on traine encore comme des boulets de vilains colonisateurs
depuis les années 60 comme le MALI et son Sahel sans compter d’autres instables !
Commémorer ses accords d’EVIAN
notre président aime faire cela avec ces compassions inutiles car les Français
et algériens ont perdu beaucoup de leurs jeunes hommes et l’Algérie et surtout une
rancœur ses dirigeants qu’ils entretiennent vissés au corps car 60 ans c’est
trop court pour oublier même pas la vie d’un homme !
L’immigration depuis l’indépendance
de l’ALGERIE n’a fait qu’augmenter en importance de leurs ressortissants En 2019, l'Institut national de la statistique et des études
économiques (INSEE) comptait 846 400 immigrés algériens résidant sur le territoire français. La même année,
l'Institut national d'études démographiques (INED) estimait à 1 207 000 le nombre d'enfants d'immigrés algériens résidant en France.
Cette importance n’est pas neutre
avec leur religion l’ISLAM et ses musulmans et indirectement on ne peut oublier
l’islamisme terroriste qui perdure encore et dont le procès des attentats de
2015 et ou l’on juge ses auteurs qui se réclame de cette religion !?
Jdeclef 21/02/2022 10h22
Cela n'a pas raté les modérateurs sont tombés dans le piège j'ai utilisé les mots islam et islamistes dans ce commentaires alors qu'eux rédacteurs du point les ont utilisé dans leur article et donc censuré arbitrairement celui-ci comme d'habitude ne respectant PAS la liberté d'expression inscrite dans notre constitution bien que cette censure ne sert à rien car ce commentaire sera diffusé sur FACE BOOK et autres médias internationaux via GOOGLE cet article au demeurant excellent de Mme COIGNARD méritait d'être commenté car le politiquement correct hypocrite est à proscrire et seule la vérité objective sur ce type de sujet sensible doit être dite et diffusée !
RépondreSupprimer