jeudi 3 mars 2022

E. MACRON a fait un discours convenu il était obligé de le faire en tant que président qui va annoncer sa candidature par lettre aujourd'hui aux Français sans mauvais suspense qui a assez duré !

 

Macron, père de la nation en surplomb de la campagne

La guerre en Ukraine impose au chef de l’État un langage empreint de gravité et de vérité. Deux registres qu’il a su manier habilement lors de son allocution.

Leader européen, père de la nation et futur candidat à sa réélection. Lors de son allocution télévisée consacrée à la guerre en Ukraine, mercredi soir, Emmanuel Macron a manié habilement les différents registres, alors que sa déclaration de candidature, retardée, est attendue d'ici la fin de la semaine. Dans une intervention ultracalibrée d'une quinzaine de minutes, le chef de l'État a voulu informer les Français de la situation et réitérer son soutien au peuple ukrainien et à son président Volodymyr Zelensky. Le président de la République a pointé les « mensonges » du régime russe, la « propagande » et rappelé les initiatives qu'il a prises sur la scène internationale pour tenter d'obtenir un cessez-le-feu et mettre en place rapidement des sanctions massives.

« Nous ne sommes pas pour autant en guerre contre la Russie. […] Nous sommes aujourd'hui aux côtés de tous les Russes qui, refusant qu'une guerre indigne soit menée en leur nom, ont l'esprit de responsabilité et le courage de défendre la paix », a assuré Emmanuel Macron, rappelant que la Russie était « l'agresseur ». Une déclaration qu'il avait déjà tenue dans le huis clos du conseil des ministres, quelques heures plus tôt, et alors que son ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a dû rétropédaler mardi après avoir déclaré vouloir mener une « guerre économique » contre la Russie. Car s'il se tient « aux côtés » de l'Ukraine, affirmant notamment vouloir prendre sa part dans l'accueil des réfugiés, le chef de l'État souhaite malgré tout maintenir le lien avec Vladimir Poutine.

Guerre en Ukraine : à Kiev, les Français se sentent abandonnés

À travers cette intervention – la seconde sous ce format solennel depuis le déclenchement de la guerre, jeudi –, le candidat officieux à sa réélection a surtout voulu adresser des messages aux Français. « Je n'ai et n'aurai qu'une boussole : vous protéger », a-t-il affirmé, se voulant tout à la fois réaliste sur la gravité de la situation et rassurant vis-à-vis de la nation. « Les jours qui viennent seront vraisemblablement de plus en plus durs » sur le front de la guerre, « notre Europe en sera bousculée », notre croissance économique « sera immanquablement affectée », mais le chef de l'État s'est engagé à y répondre « par des décisions historiques ». Son Premier ministre, Jean Castex, doit présenter un « plan de résilience économique et social », tel qu'il l'avait annoncé depuis le Salon de l'agriculture, samedi, pour faire face notamment à la hausse des prix des matières premières. En tant que président du Conseil de l'Union européenne, le président a rappelé sa volonté de faire des Vingt-Sept une « puissance économique, une puissance énergétique, une puissance de paix » et de renforcer son arsenal de défense.

« Cette guerre vient aussi percuter notre vie démocratique »

Enfin – et le président pouvait difficilement faire l'impasse sur le sujet –, Emmanuel Macron a conclu son adresse aux Français en évoquant le contexte électoral de son intervention, à moins de six semaines du premier tour de l'élection présidentielle, et alors que sa déclaration de candidature a été retardée. « Cette guerre vient aussi percuter notre vie démocratique et la campagne électorale qui s'ouvre officiellement à la fin de cette semaine. Cette campagne permettra un débat démocratique important pour la nation, mais qui ne nous empêchera pas de nous réunir sur l'essentiel », a-t-il évacué, tandis que plusieurs responsables politiques de l'opposition se sont inquiétés ces derniers jours que la guerre en Ukraine occulte totalement la compétition électorale.

L'Ukraine et la présidentielle : « Macron, c'est “Top Gun” ! »

Lors du conseil des ministres, un peu plus tôt, le chef de l'État avait également mentionné l'élection présidentielle, en prenant soin de ne pas parler de sa candidature. « Lundi, la liste des candidats à l'élection présidentielle sera publiée. À partir de mardi, le Premier ministre communiquera sur ce qui concerne l'obligation de réserve », avait-il rappelé à son gouvernement, réuni sans masque, pour la première fois depuis de nombreux mois. Compte tenu de la situation, ses proches plaident pour une déclaration de candidature la plus sobre possible, qui pourrait intervenir au plus près du 4 mars, voire ce jour-là, date limite fixée par le Conseil constitutionnel. « On subit totalement le calendrier, cela nous met dans un corner », commente un conseiller de l'exécutif. Déjà invariablement favori de l'élection, Emmanuel Macron a engrangé des points supplémentaires dans les sondages depuis le début de la guerre en Ukraine. « Personne n'est en mesure de le chatouiller, lâche un confident. Et quand tu es haut, tu appuies sur le bouton au dernier moment. »

Du côté du siège de La République en marche, on s'applique depuis quelques jours à « réinventer la campagne ». Le premier meeting du futur candidat, qui devait se tenir ce week-end à Marseille, a été reporté. « Le président va être encore plus que prévu happé par son agenda de président. Cela nous impose une plus grande agilité afin de trouver les moyens de faire campagne tout en respectant l'impératif de décence qui s'impose », décrit-on au sein de l'équipe de campagne. Un casse-tête.

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Président (ce doit d'informer les Français qui ont assez de médias divers ou autre moyen pour se rendre compte de la situation Ukraine et Russie !)

Mais en ce qui concerne protéger les Français il n'est pas à la hauteur il a déjà bien du mal à exfiltrer ceux qui sont en UKRAINE et RUSSIE et n'a que ce bon LE DRIAN pour dire à nos expatriés de partir rapidement mais pas vraiment les protéger !

Car ce petit président bon chic bon genre beau parleur arrivé comme les cheveux sur la soupe en bon opportuniste politicien que l’on croyait novice et ce qui a donné de l’espoir par sa jeunesse de changement ou rénovation de nos institutions de notre république monarchique obsolète par la défection de son prédécesseur pleutre !

N’a rien fait car c’est contenté de profiter de son statut de pseudo monarque sans couronne comme ses prédécesseurs avec en plus une gestion du pays et de ses crises intérieures médiocres (Benalla gilets jaunes grèves et manifestations de mécontentement des Français nombreuses avec celle extérieures crises sanitaires avec cette pandémie COVID et vaccinations désordonnées et ses pass vaccinaux qui ont semé le désordre etc.)

Car gouverner c’est prévoir et lui n’en n’a pas été capable et cette crise internationale à montrer sa faiblesse car bavarder et discourir ne suffit pas malgré qu’il se soit fait humilier par ce Poutine qui a disjoncté et extrêmement dangereux !

Son gouvernement de pattes cassées est de même facture sauf peut le 1er ministre CASTEX a réagi plus fermement mais ce n’est pas lui qui dirige !

Et bien sûr en tant que président sortant il sera surement réélu car la classe politique qui lui est opposée est si médiocre que beaucoup de français diront qu’il faut le garder car il n’y a personne de valable pour le remplacer et étant en place il est censé connaitre les dossiers graves du moment (bien que...!)

La France et les Français viennent d’entrer dans une crise grave et indirectement mondiale et notre pays est faible mal armé pour se défendre militairement et économiquement car nos citoyens lambda ne savent plus voter depuis 40 ans ni mettre au pouvoir des dirigeants capables de les protéger car on vit trop sur le passé depuis 64 ans !

jdeclef  03/03/2022 13h47



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