lundi 7 mars 2022

Pitoyables marionnettes sans fils avec leur gesticulation désordonnée stupide : Avec de tels opposants extrémistes de droite ou gauche ou sans étiquettes illuminés la France ne peut s'en sortir !

 

Présidentielle : avec Marion Maréchal, Éric Zemmour espère son « miracle »

La nièce de Marine Le Pen a officialisé son soutien ce dimanche, alors que le candidat dévisse dans les sondages. Un timing délicat.

(Surtout plus de politiciens élus qui puissent redresser la France et l'à protéger !)

Ils en rêvaient depuis plus d'un an… Après des mois de rumeurs, de faux allers-retours et d'hésitations, Marion Maréchal a enfin officialisé son ralliement au candidat de Reconquête !, dans un entretien au magazine Valeurs actuelles, alors que se tient ce dimanche un grand meeting à Toulon, dans le Var. « J'ai la certitude que la recomposition politique va advenir, je crois de nouveau la victoire possible », a lancé l'ancienne députée.

La rumeur, qui enflait depuis plusieurs jours, a été confirmée le 2 mars par nos confrères du Figaro, qui dévoilent les coulisses qui ont précédé la décision, tellement attendue qu'elle a plusieurs fois été annoncée comme « imminente » par l'équipe de campagne. Les proches du candidat en espèrent une « déflagration ». « Marion reste extrêmement populaire au sein de la droite », s'enflamme auprès du Point l'un des stratèges d'Éric Zemmour. « Son ralliement est le signe que Reconquête ! représente l'avenir, il en déclenchera d'autres à droite. Cela peut faire basculer la campagne ! »

À force d'être exposé, l'argument a singulièrement perdu de sa puissance. Imaginé à l'automne par l'équipe de Reconquête ! comme l'acmé d'une percée qui aurait vu Éric Zemmour renverser Marine Le Pen, puis le candidat des LR avant Noël, le soutien de l'égérie de la droite nationale, dépeinte comme une véritable « Jeanne d'Arc » par des troupes en quête de légitimité, devait ouvrir les vannes d'un vaste mouvement de ralliements, et dynamiter les partis sur les ruines desquels Reconquête ! réaliserait l'« union des droites. » Mais Marion Maréchal, en discussion depuis des mois avec l'équipe, a tardé à se décider…

Et le faible impact dans les sondages des soutiens arrachés à ses concurrents au cours du mois de janvier par Éric Zemmour, du LR Guillaume Peltier aux RN Nicolas Bay ou Stéphane Ravier, a ébranlé la théorie. « L'effet d'un ralliement ne dure qu'une dizaine de jours », analyse un proche du candidat, obligé de concéder que, si les précédents mouvements ont permis à l'ancien journaliste de se maintenir dans les sondages en période de turbulences, l'effet s'est rapidement estompé. « L'essentiel, c'est d'installer une petite musique dans l'opinion : Emmanuel Macron et Éric Zemmour ont la capacité de rassembler, tandis que Valérie Pécresse et Marine Le Pen se font dépouiller. »

Le Pen, Zemmour, Maréchal : petites trahisons en famille

« On a failli tout annuler »

Le soutien de la nièce de Marine Le Pen, véritable star au sein de la droite nationale, sera-t-il de nature différente ? C'est possible, tant la charge symbolique est puissante. Mais ce n'est pas garanti, compte tenu à la fois du calendrier de l'annonce et de son caractère largement émoussé… En janvier, l'annonce que Marion Maréchal ne soutiendrait pas sa tante avait provoqué une première onde de choc. La jeune femme s'était donné un mois pour « recréer l'effet de surprise », et aurait volontiers attendu la toute fin de la campagne pour officialiser les choses. Mais l'équipe d'Éric Zemmour, inquiète de voir son candidat stagner dans les sondages autour de 15 %, derrière Marine Le Pen, l'a pressée d'accélérer…

Au magazine Elle, mi-février, Éric Zemmour confie que Marion Maréchal pourrait devenir son Premier ministre, mais à la condition qu'elle fasse campagne avec lui… Le calendrier est arrêté, selon Le Figaro, la semaine dernière. « Une interview devait sortir dans Valeurs actuelles ce 3 mars, suivie du meeting de Toulon », confie au Point un confident des tractations. « À l'origine, c'était pour casser la dynamique d'Emmanuel Macron qui allait se déclarer, et répondre à son meeting de Marseille. » La guerre en Ukraine, brusquement déclenchée, a bousculé les choses… « On a failli tout annuler », confie la même source. Au siège du candidat, plusieurs sont partisans d'attendre, redoutant que l'événement passe médiatiquement inaperçu sous la fureur des bombes. Mais d'autres insistent : « Éric est entré, avec la guerre en Ukraine, dans une dynamique de chute. Il lui faut un ralliement fort capable de détourner l'attention… Une bombe atomique de circonstance pour éviter l'effondrement de sa candidature », analyse un observateur de la campagne. « Elle arrive comme une force de sauvetage… » Une tentative désespérée, donc, qui risque en conséquence (et c'est bien le problème) d'apparaître comme telle…

Un microparti pour peser sur les propositions

Cela suffira-t-il pour reprendre de l'élan ? Parmi les amis de Marion Maréchal, certains en doutent, et auront supplié jusqu'au dernier moment la jeune femme de ne pas s'engager. «  C'est l'une des erreurs les plus graves commises par la droite nationale, et depuis très longtemps », tempête un ami de Marion Maréchal, qui fut l'un des premiers à rejoindre Éric Zemmour au printemps dernier, avant de prendre le large. « Éric Zemmour ne gagnera pas et il va tuer nos idées. Tout cela finira mal. » D'autres prédisent une cohabitation difficile entre la jeune femme et Sarah Knafo, à la fois stratège et compagne du candidat. Sur le plateau de BFMTV,mercredi soir, Marine Le Pen s'est dite par avance « attristée » d'un choix attendu, la plongeant « politiquement dans un abîme de perplexité ». Sa nièce n'avait-elle pas promis de soutenir, à l'approche du premier tour, le candidat qui serait « le mieux placé » pour faire gagner ses idées ?

En femme politique qu'elle n'a jamais cessé d'être, Marion Maréchal fait un calcul différent, guidé par la conviction que le Rassemblement national ne résistera pas à un nouvel échec et se décomposera au lendemain de l'élection. Pour relancer sa carrière politique en sommeil, elle mise sur Reconquête ! et le formidable élan déclenché par la candidature d'Éric Zemmour : son parti compte déjà 115 000 adhérents. Sur les conseils de son ami, l'ancien conseiller régional Charles Millon, éternel avocat de l'union des droites, la jeune femme a âprement négocié son soutien : selon nos informations, elle ne rejoindrait pas directement le parti Reconquête !, mais devrait y associer son propre microparti, qui se verrait attribuer plusieurs dizaines de circonscriptions. « Son idée est de prendre la tête d'un groupe parlementaire, mais rien n'est encore tranché », confie l'un des cadres du parti. «  Au FN déjà, elle ne voulait pas avoir les mains dans le cambouis et préférait garder une certaine indépendance. Elle conçoit sa structure comme une plateforme de propositions, tout en étant sous le même label. » C'est d'ailleurs l'un de ses amis, l'ex-LR Sébastien Pillard, qui pilote la petite cellule récemment mise en place pour plancher sur les investitures, avec l'aide de l'ancien mégrétiste Philippe Schleiter. Deux autres très proches de Marion Maréchal, Thibaut Monnier et Agnès Marion (en rupture du RN dans la région Auvergne-Rhône-Alpes), participent aux travaux.

Le pari politique de Marion Maréchal

C'est donc un retour aux sources pour l'ancienne députée du Vaucluse, candidate malheureuse du FN aux régionales de 2015 en Paca, qui avait brusquement abandonné la vie politique au lendemain de l'élection de 2017, laissant son équipe en rase campagne à un mois des législatives. Le FN y avait perdu son siège et la jeune femme, l'étiquette qu'elle ne voulait plus assumer après des mois de tensions avec la direction d'un parti dont elle contestait la ligne populaire et sociale. « Je pense que la stratégie victorieuse réside dans l'alliance de la bourgeoisie conservatrice et des classes populaires » autour du thème central et commun de l'identité, se justifiait-elle alors dans Valeurs actuelles, appelant de ses vœux une « recomposition » du paysage politique grâce à l'« union des droites » nationale et conservatrice. « C'était la synergie qu'avait réussie Nicolas Sarkozy en 2007. » Cinq ans avant qu'il n'émerge dans le débat public, avant même qu'il n'articule lui-même cette idée : du Zemmour dans le texte !

Retirée de la vie politique, la jeune femme fonde une école à Lyon, l'Issep, conçue comme un laboratoire d'idées. Après l'échec des Républicains aux Européennes de 2019, ses proches concoctent pour elle une grande convention de la droite, rassemblant plusieurs figures nationalistes s'accordant sur sa ligne identitaire, conservatrice et libérale. Le journaliste Éric Zemmour, poussé dans l'aventure par sa proche conseillère Sarah Knafo, partage l'affiche avec elle… Avant de l'occuper tout entière, la jeune femme (elle n'a aujourd'hui que 32 ans) ne se sentant pas prête à se lancer dans une campagne sans autre expérience qu'un mandat de député décroché sur son nom.

Présidentielle : le « pari américain » d'Éric Zemmour

« Marion piaffe, ça la démange… Elle entend son discours déclamé sur la scène et elle rêve de revenir dans la course », s'amusait à l'automne un de ses proches amis. « Mais le risque qu'elle prend aujourd'hui est énorme… »

L'entourage du candidat, après avoir longtemps fantasmé sur l'impact médiatique du « ralliement de Jeanne d'Arc à Napoléon », est revenu à des considérations plus prosaïques. « Elle a une image favorable dans une partie de l'électorat de droite qui soutient encore Valérie Pécresse et qui peut basculer. Marion peut aussi humaniser Éric et féminiser son image ! Sur l'affiche, il n'y a quasiment que des hommes », souligne un élu fraîchement rallié, séduit précisément par la jeunesse incarnée par le nouveau mouvement. Et convaincu, pour cette même raison, que Reconquête ! vivra, quelle que soit finalement l'issue de l'élection.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Car notre président candidat à sa réélection va réussir celle-ci sans effort à cause du monde politique d’une qualité inexistante et usé par la trop longue présence des autres candidats connus médiocres et fats avec une opposition défaillante que les Français ont déjà subi dans les précédents quinquennats et avant !

Avec E. MACRON qui continue à téléphoner à POUTINE en pure perte dans un dialogue stérile à sens unique car n’ayant pas encore compris le caractère du maitre du KREMLIN devenu un dictateur confirmé qu’il ne faut pas hésiter à appeler comme cela !

Et donc cet individu « fou comme un russe » pour employer un langage populaire favorise indirectement la réélection qui devient facile de notre petit monarque sans couronne qui lui aussi à trop de pouvoir que les français lui ont donné par les institutions de cette V eme république qui ne nous protège plus tout, comme aussi E. MACRON qui ne sait pas le faire et ne s’intéresse pas la sécurité (dite régalienne des français !)

Donc les Français lambda le rééliront car ayant peur du lendemain et des changements qu’ils demandaient car ils savent « ce qu’ils ont, pas ce qu’ils auraient après » !?

Car pour l’instant c’est la raison du plus fort et la force qui l’emporte comme l’attaque plutôt que la défense dans cette guerre russo ukrainienne jusqu’à la chine qui souligne son amitié à la Russie…

Jdeclef 07/03/2022 10h55


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire