JADOT est un vert illuminé pas mur qui n'a pas compris que les extrémistes de tous poils on en a trop ! Plus les illuminés utopiques qui confondent écologie et politique je meurt..!

 

Le meeting à quitte ou double de Yannick Jadot

Le candidat écologiste organise ce dimanche à Paris son unique grand rassemblement de la campagne. Un moment clé, même si les Verts banalisent l’enjeu.

Son ombre plane sur le Zénith telle une malédiction. Le dernier meeting organisé dans la salle parisienne, mi-février, a laissé un souvenir douloureux. Personne n'a oublié la mauvaise prestation de Valérie Pécresse, tout sauf à l'aise debout sur scène face à plus de 7 000 sympathisants Les Républicains. Un échec d'autant plus cuisant que ses troupes avaient passé les jours précédents à dramatiser l'enjeu pour en faire un véritable tournant de la campagne. Ce dimanche-là, le soufflé s'est dégonflé en quelques minutes de discours.

Ce 27 mars, c'est Yannick Jadot qui rassemble ses partisans dans la même salle. Le seul meeting d'envergure de la campagne pour le candidat écologiste est assurément un moment important. Mais chez les Verts, on évite soigneusement d'en faire un enjeu particulier. « C'est un moment comme un autre, évacue le candidat. On ne construit pas une campagne sur un meeting. » Un proche acquiesce : « Ce n'est pas l'alpha et l'omega, mais c'est un moment important. » « Il n'y a pas de storytelling ni d'enjeu, abonde un cadre d'EELV. C'est un meeting, et c'est tout. Ce ne serait que moi, on n'en ferait pas ! »

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Objectif remplissage

Depuis plusieurs semaines, les équipes de campagne battent inlassablement le rappel auprès des troupes pour assurer un remplissage de la salle. Des arrivées groupées à vélo sont prévues, des artistes comme Yael Naim et Papooz viendront chauffer l'ambiance… « Les militants sont ultra-chauds, ça va être la fête ! » s'enthousiasme Sandra Regol, secrétaire nationale adjointe d'EELV.

Tous espèrent que la salle sera pleine, d'autant que les écologistes sont peu habitués aux meetings. « On a une tradition militante différente, on ne fait pas de grand rassemblement », rappelle David Belliard, adjoint à la maire de Paris et conseiller politique de Yannick Jadot. « N'oublions pas que le record historique des écolos c'est 2 500 personnes en 2009 », argumente un stratège de la campagne. Le candidat s'est jusqu'à présent contenté de petits meetings rassemblant quelques centaines de personnes, et enchaîné les meetings express en extérieur, sur des places publiques. « C'était plus intéressant et moins confortable de faire ce pari d'aller parler aux gens », juge Sandra Regol.

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Démonstration de force

Une stratégie qui a privé Yannick Jadot de démonstrations de force dont ses concurrents usent et abusent. À gauche, Jean-Luc Mélenchon, incontestable tribun, remplir les salles et les places. Sa marche pour la VI^e République à Paris dimanche 20 mars a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes, un succès. « Ça ne se traduit pas forcément électoralement », prévient David Belliard, les dernières européennes en tête. Un élu écolo se souvient de cette campagne où « il y avait énormément de monde dans les meetings de La France insoumise et personne chez nous. Pourtant, on leur a mis une douille. »

Mais les images ont du poids, surtout dans une campagne très personnifiée comme la présidentielle. En difficulté dans les sondages – où il stagne à 5-8 %, à la sixième place – le candidat n'a pas le droit à l'erreur. Si une salle pleine ne sera pas forcément pourvoyeuse de dynamique, les images d'une salle vide lui porteraient un coup fatal. D'autant qu'au même moment, Jean-Luc Mélenchon rassemble ses troupes plage du Prado à Marseille, et Éric Zemmour les siennes place du Trocadéro.

À deux semaines du premier tour, le discours de l'écologiste sera scruté. Que compte-t-il dire ? « C'est secret ! » balaie un proche, qui évoque une prise de parole de moins d'une heure, « pas un discours fleuve à la Castro ». Avec, en tête, le spectre du meeting raté de Valérie Pécresse sur cette même scène. « Comme Yannick croit en ce qu'il raconte, il n'aura pas de souci, lui, sourit Sandra Regol. Il a l'habitude, il n'a pas besoin de coaching. Et il est en pleine forme ! »

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Car ce sont des empêcheurs de tourner en rond « pour ce qui est contre et contre ce qui est pour » !

Il repassera quand l’herbe sera plus verte donc bien après la crise actuelle à nos frontières européennes et occidentales et avant de couvrir la France d’éolienne ou de panneaux solaires de se bourrer de bio ou du faire du tri dans ces poubelles voire plus grave en tirant un trait sur l’énergie nucléaire comme a fait l’Allemagne qui en est réduit à importer du charbon hyper polluant avec en plus la réouverture des centrales thermiques et payer notre électricité plus chère !

Et il faudrait se doter d’un dirigeant ferme qui ne soit pas donneurs de leçon hypocrite partisan du politiquement correct qui remettra la FRANCE sur rail à l’international et en rétablissant la sécurité dans la vie quotidienne des Français âgés qui comme moi l’on a connu mais perdu !

L’écologie d’accord mais pas politique car Mr JADOT bien sympathique comme d’autres avant lui qui ne savent pas gouverner sans utopies car irréalisables sans compter ceux des ex-gouvernements passés comme le fameux Mr HULOT loin d’être net (et d’autres de même acabit !)

En plus les Français qui craignent le lendemain vont réélire notre président sortant mais pas seulement à cause de cette crise internationale car aussi par une opposition de politiciens médiocres dont les verts font partie !

Les électeurs qui ont élus les verts aux municipales à cause de cette élection tronquée et une abstention importante organisée indirectement par notre président soi-disant à cause de là Covid s’en morde les doigts !

Jdeclef 27/03/2022 11h26