jeudi 17 mars 2022

Il continue surtout à se moquer des Français qui gobent tout ! car ils sont d'incurables idiots individualistes partisans du chacun pour soi mais quand çà va mal ils paient tous !

 

Présidentielle : accusé de fuir la campagne, Macron accélère

Le candidat président, qui devait égrainer ses propositions, a revu sa stratégie et dévoilera son programme d’un bloc lors d’une conférence de presse jeudi.

« Monsieur » je dis tout mais ne fait rien il n’en n’a pas besoin cela lui évite de faire des erreurs de communication mal interprétée !

Je veux un truc ouvert, transparent. Je veux pouvoir répondre à toutes les questions. » Telle est la consigne donnée par Emmanuel Macron à ses équipes chargées d'organiser la conférence de presse de présentation de son programme. Prévue jeudi après-midi aux Docks de Paris à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), l'intervention du président candidat devant les journalistes durera donc « autant de temps que nécessaire », dit-on dans son entourage. L'agenda du chef de l'État a été dégagé en ce sens.

Objectif recherché par le locataire de l'Élysée : montrer qu'il joue le jeu de la campagne, qu'il ne se cache pas. Car son refus assumé de débattre face à ses concurrents a déclenché des critiques de toutes parts contre un président sortant accusé de fuir la controverse électorale, de tenter d'enjamber le scrutin en prétextant un agenda saturé par la gestion de la guerre en Ukraine.

Las, Emmanuel Macron a donc opéré un revirement stratégique pour ne pas donner prise à la polémique. « La petite musique sur le fait qu'il ne veuille pas faire campagne commençait à monter, reconnaît un stratège. Or, en cas de réélection, il a quand même besoin d'un mandat politique. Voilà pourquoi il doit se soumettre à cette opération transparence sur son programme. »

Derniers arbitrages

Cette présentation formelle n'allait pas de soi. « Ce n'était pas du tout prévu qu'il révèle tout d'un coup », confie-t-on. Le favori des sondages devait initialement se contenter d'égrainer ses propositions au fur et à mesure de sa campagne, tel qu'il avait commencé à s'y employer à Poissy (Yvelines) lors de sa première intervention de candidat, en défendant notamment la suppression de la redevance télé et le triplement de la prime Macron. « Tout déflorer, c'est aussi un risque, fait observer un cadre de la majorité. Car il lui faut du carburant pour tenir jusqu'au bout de la campagne, pour rester en dynamique. »

Un cercle très restreint de fidèles a eu accès à la version finale et complète du programme, une quinzaine de personnes, tout au plus. Le livret programmatique de 24 pages est à l'impression depuis la semaine dernière. Certaines parties ont été disséminées ici ou là, à ceux qui ont notamment travaillé sur des thématiques précises. Des ministres et élus attendent ainsi fébrilement de savoir si les idées qu'ils ont généreusement adressées au chef de l'État seront retenues.

Emmanuel Macron dévoile les grandes réformes d'un second mandat

Un nouveau « en même temps »

Des réunions étaient en cours jusqu'au dernier moment, mercredi, pour arrêter les ultimes arbitrages. Ceux qui étaient là en 2017 se souviennent que, déjà, à l'époque, le directeur de campagne d'alors avait dû envoyer le programme à l'impression contre le gré du candidat, qui n'en finissait pas d'en retoucher le contenu.

Dans son propos liminaire, le candidat de La République en marche devrait nourrir ses « quatre pactes » (européen, générationnel, productif, républicain) de mesures concrètes. Certaines d'entre elles seront « coconstruites » avec les citoyens, manière de donner à voir la « nouvelle méthode » de gouvernance que promeut Emmanuel Macron. « Il va montrer qu'il est le candidat de la confiance dans l'avenir, qu'il est dans la continuité avec l'amplification des réformes économiques », résume une ministre. « À la fois dans la recherche de ses origines et dans la poursuite du dépassement », poursuit une Marcheuse historique au cœur des discussions. Un nouveau « en même temps » adapté au contexte de crise.

Meetings et médias

Emmanuel Macron sera sur le terrain dès le lendemain pour défendre sa candidature. Le président sortant est attendu durant cinq à six heures à Pau (Pyrénées-Atlantiques), fief de son allié François Bayrou pour un débat avec des habitants sélectionnés par la presse locale et un autre sur le thème de la santé. Là encore, consigne a été donnée de préparer un format plus « naturel » que celui organisé à Poissy, où le maire Karl Olive, soutien du chef de l'État, avait cru bon de lui organiser une salle plutôt favorable. « Le système autour du président a tendance à vouloir tout verrouiller. Mais lui, il veut prendre des risques », assure un ministre au cœur de la campagne.

Participer aux mêmes formats d’émission que ses adversaires permet de donner l’image d’un président qui se met au même niveau, qui participe au débat présidentiel.

Ses équipes ont aussi confirmé la tenue d'un grand meeting le 2 avril à Paris ou en proche banlieue, alors que l'opportunité de convoquer une grand-messe dans un contexte de crise faisait débat. Après une grande émission de télévision lundi soir, le candidat à sa réélection a confirmé sa participation à d'autres interviews dans les médias, notamment dans des matinales radio. « Participer aux mêmes formats d'émission que ses adversaires permet de donner l'image d'un président qui se met au même niveau, qui participe au débat présidentiel », souligne un acteur de la campagne.

Preuve que dans la dernière ligne droite, et pour couper court aux attaques des oppositions, Emmanuel Macron veut accélérer sa campagne. À ce propos, les charges répétées du président du Sénat ont agacé en haut lieu. Sur Europe 1 puis dans Le Figaro, Gérard Larcher a émis des doutes sur la légitimité du chef de l'État s'il était effectivement réélu. Depuis, le premier cercle du président n'a pas de mots assez durs pour tancer ce soutien de Valérie Pécresse, qualifié « d'irresponsable » et de « dangereux ». « Son comportement est honteux, scandaleux. C'est très grave qu'il se laisse aller comme ça juste pour essayer de se sauver les miches aux législatives. C'est une preuve de plus de l'effondrement de la droite républicaine, qui n'a de républicaine que le nom », s'emporte un ministre venu des Républicains.

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Il a raison tant il est aidé par les médias (2eme vraie force politique) qui l’ont déjà donné vainqueur à sa réélection (probable) par des sondages médiatiques orientés et indirectement par cette affreuse guerre ukrainienne qui influence beaucoup de nos concitoyens qui craigne le lendemain !

Il refait un scenario connu et saisi tout opportunisme à sa main comme en 2017 qui a marché et même plus facile, car sans opposition valable chez les 12 candidats médiocres qui se présentent et qualifiés par ce jeu de parrainages débiles et antidémocratiques aussi modifié car ayant supprimé l’anonymat des maires ou autres élus dont certains n’ont pas voulu signer ceux-ci de peur d’être marqué à l’encre rouge par notre état kafkaïen !

Il fera comme CHIRAC réélu lui-même par défaut en 2002 et ne fera rien de plus et se laissera vivre jusqu’en 2027 en ne changeant rien car il ne peut faire 3 mandats dans notre constitution (bien qu’une constitution cela se change) celle de cette Vème république a déjà été modifiée à la marge depuis sa création par les quinquennats médiocres et trop de pouvoir donné à un seul homme etc..!

Et il continue à faire des chèques en blanc et promettre ce qu’il ne pourra pas tenir avec une inflation qui augmente 4% : aujourd’hui et ce n’est pas fini…

Taux d’inflation de la Vème république :

15,1% 1958 arrivé de De gaulle et la Vème république, 1974 choc pétrolier 13,7%, 1981, élection de MITTERAND et de l’union de la gauche 13,14% !

Pour le reste on n’est pas encore en démocrature car notre petit monarque sans couronne n’est pas un méchant seulement un politicien opportuniste sans étiquette avec son parti fantôme et profiteur (comme d’autres avant lui) alors il enfonce le clou jusqu’à la garde car les Français bornés si niais votent toujours aussi mal depuis 40 ans et ne savent que râler c’est tout !

Jdeclef 17/03/2022 10h34


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