vendredi 4 mars 2022

Je ne veux pas être plus critique qu'il le faut mais le titre orienté sur cet article du point est une ineptie ! De toute façon les français aiment les coups de pieds au derrière !

 

Présidentielle : Emmanuel Macron, candidat de la continuité

Dans sa lettre aux Français, le chef de l’État se pose en capitaine d’un pays éprouvé par les crises et fait du travail, de l'école et de la santé ses priorités.

(BEN VOYONS…FLUCTUAT NEC MERGITUR... ?!)

Dans un climat inédit de crises et au milieu d'une offre politique de plus en plus radicale, Emmanuel Macron, président en exercice, a choisi de placer sa candidature sous le signe de la continuité et de la stabilité. « Bien sûr, je ne pourrai pas mener campagne comme je l'aurais souhaité en raison du contexte », a-t-il prévenu dans sa lettre aux Français, s'engageant toutefois à expliquer son projet « avec clarté et engagement ».

Sans surprise, le chef de l'État s'est présenté dans sa missive dévoilée jeudi soir comme le garant du modèle social français et de l'identité française, d'un avenir profitable. Cinq ans après avoir proposé une « révolution » aux Français, le locataire de l'Élysée annonce sa candidature comme « le point de départ d'une nouvelle époque française et européenne ».

Emmanuel Macron officialise sa candidature à l'élection présidentielle

Recensant les « bouleversements » : « menace sur nos démocraties, montée des inégalités, changement climatique, transition démographie, transformations technologiques », Emmanuel Macron dit vouloir y répondre non pas en « choisissant le repli ou en cultivant la nostalgie » mais en « regardant avec humilité et lucidité le présent, en ne cédant rien de l'audace, de la volonté et de notre goût de l'avenir ». « L'enjeu est de bâtir la France de nos enfants, pas de ressasser la France de notre enfance, défend-il, installant le match contre son adversaire nationaliste Eric Zemmour, candidat de Reconquête !. 

Il nous faudra donc travailler plus et poursuivre la baisse des impôts.

En tête de ses priorités, le président-candidat et favori des sondages cite l'économie, considéré comme l'un de ses points forts. « Il nous faudra donc travailler plus et poursuivre la baisse des impôts pesant sur le travail et la production », annonce-t-il, sans nommer la réforme des retraites. Emmanuel Macron s'engage aussi sur l'école, promettant aux enseignants d'être « plus libres, plus respectés et mieux rémunérés » et rappelant son ambition, déjà très présente en 2017, de lutter contre les inégalités de destin, mentionnant aussi la « méritocratie républicaine ».

Quelques semaines après le scandale Orpea, le candidat à sa réélection écrit vouloir relancer le chantier du grand âge, angle mort de son quinquennat, pour « rendre les maisons de retraite plus humaines ». Il s'engage dans le même temps à faire « reculer les déserts médicaux », sujet très sensible dans l'opinion.

La nouvelle révolution de Macron

« Les crises que nous traversons depuis deux ans montrent que c'est bien ce chemin qui doit être poursuivi », estime Emmanuel Macron, selon qui les « transformations » déjà engagées « ont permis à nombre de compatriotes de vivre mieux, à la France de gagner en indépendance ». Défendant son bilan, le président se veut en même temps humble. « Nous n'avons pas tout réussi. Il est des choix qu'avec l'expérience acquise auprès de vous je ferais sans doute différemment », écrit-il, dans un énième mea culpa.

« Nous avons tenu bon sans jamais renoncer à agir », fait-il savoir en citant les réformes menées, comme pour mieux tordre le cou aux critiques en immobilisme qui ont pu poindre depuis le mouvement des Gilets jaunes.

« Faire des républicains »

Exaltant « l'art d'être français » au lendemain de ces contestations, le président sortant se veut le défenseur de « notre singularité française », citant « une histoire, une langue, une culture que lorsque l'on est Français, on se doit de connaître, d'aimer, de partager ». Ainsi, la citoyenneté ne doit pas reposer « seulement sur des droits, mais sur des devoirs et un engagement de chaque jour ». Il souhaite former « des citoyens » et « faire des républicains », une nouvelle dimension à son projet qui n'existait pas il y a cinq ans.

Le régalien est simplement mentionné au détour de ce paragraphe pour réitérer sa volonté d'investir dans les forces de sécurité et la justice.

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Il faut cesser de se moquer des français : « candidat de la continuité » !?

Il a très mal géré le pays ainsi que les crises sanitaires de la COVID car dépassées et a fait multiples erreurs trop nombreuses pour les nommer ou les détailler qui ont déclenchées colère et grèves et autres manifestations de mécontentements jusqu’à être violentes pour certaines !

Quant à l’international et notamment avec cette crise grave de guerre en UKRAINE cela a été « la cerise sur un gâteau déjà empoisonné » innommable avec ses relations téléphoniques et visite au dictateur POUTINE que seul notre 1er ministre a eu le courage de désigner comme tel et qui lui a mentit et humilié mais comme il n’a pas beaucoup d’amour-propre, car il semble incurable près à tendre l’autre joue pour se faire frapper sauf que là c’est la France et les français qu’on insulte « ces gens de peu » qu’il a dédaigné en son temps dont pourtant certains sont bien plus intelligents et plus utiles que lui  !

Il n’y a pas de continuité dans son quinquennat, car il l’a raté et qu’il l’a mal commencé depuis déjà 2018 puisqu’il n’a rien fait de probant à part souler le français avec ces discours alambiqués bien tournés mais creux car non suivi d’effet il repart à zéro !

Et là va encore se dresser sur ces ergots de coqs avec son orgueil démesuré petit roitelet pseudo monarque pour commencer peut-être un nouveau quinquennat puisque le 1er n’a servi à rien et être réélu par des français qui craignent le lendemain très incertain et par cette opposition de cette classe politique contre lui composée de politiciens si médiocres jusqu’en 2027 !

Grand bien leur face à ses français pleutres car le président sortant ne fera pas mieux que ce qu’il n’a pas fait et surtout ne nous ne protégera pas mieux dans cette période de crise très tendue et dangereuse car il ne changera RIEN çà c’est une certitude il l’a déjà prouvé par ses indécisions ou pseudo actions quand il en a fait !?

Jdeclef 04/03/2022 14h53


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