Les ex-otages sont arrivés dimanche vers 9h à
Villacoublay où ils ont été accueillis par leurs familles, ainsi que François
Hollande et Laurent Fabius.
«Il y a encore des otages qui sont retenus parce qu’ils sont journalistes. Je pense aussi à nos deux otages au Mali.»
«C’est rare de parler après un Président! C’est un immense soulagement d’être libre, de respirer de l’air frais, avoue Didier François. On savait que tout le monde était mobilisé. On a vraiment cette chance d’être Français. Il y a quelque chose qui nous a touché, cet élan de solidarité. Les Français sont généreux et j’en suis extrêmement heureux. Nous allons retrouver nos familles qui ont plus souffert que nous. Nos familles ne l’ont pas choisi et c’était dur pou elles. Je m’excuse, je suis un peu ému.», a conclu le grand reporter d’Europe 1.
«Sur les dix mois et demi» de détention en Syrie, les quatre otages français sont «restés dix mois complets dans des sous sol sans voir le jour, un mois et demi entièrement enchainés les uns aux autres», a-t-il ajouté, évoquant des conditions de détention «rudes».
Les quatre journalistes disent leur soulagement d'être libres
LIBÉRATION - «C’est un jour de joie pour la France», a souligné François Hollande à Villacoublay...
«C’est rare de parler après un Président!»
«C’est un jour de joie pour la France. Je veux tout particulièrement remercier les ministres, les fonctionnaires qui ont réussi à entreprendre cette opération et qui ont réussi que ces quatre amis soient là», a souligné le Président de la République. François Hollande a rendu hommage au travail des journalistes qui couvrent les conflits.«Il y a encore des otages qui sont retenus parce qu’ils sont journalistes. Je pense aussi à nos deux otages au Mali.»
«C’est rare de parler après un Président! C’est un immense soulagement d’être libre, de respirer de l’air frais, avoue Didier François. On savait que tout le monde était mobilisé. On a vraiment cette chance d’être Français. Il y a quelque chose qui nous a touché, cet élan de solidarité. Les Français sont généreux et j’en suis extrêmement heureux. Nous allons retrouver nos familles qui ont plus souffert que nous. Nos familles ne l’ont pas choisi et c’était dur pou elles. Je m’excuse, je suis un peu ému.», a conclu le grand reporter d’Europe 1.
«Sur les dix mois et demi» de détention en Syrie, les quatre otages français sont «restés dix mois complets dans des sous sol sans voir le jour, un mois et demi entièrement enchainés les uns aux autres», a-t-il ajouté, évoquant des conditions de détention «rudes».
Que voulez vous qu'ils disent ces
hommes et en plus eux mêmes journalistes?
Ce que tous hommes ou femmes libérés
diraient "ils sont heureux" d'être libres et revenus au pays!
Alors cette mascarade devenue
habituelle avec le président le ministre des affaires étrangères, paradant pour
les accueillir, les bla-bla répétitifs des questions posées par les médias et
le discours convenu de F.Hollande bien sur!
(On
peut se demander, si dans leur fort intérieur, ces hommes ne se disent pas :
"vivement qu'on soit chez nous, avec nos familles, nos vrais amis et nos
proches"!)
Car bien sur c'est un événement
journalistique pour les médias en plus, car c'était des otages confrères, mais
on pouvait:
(Par exemple les laisser en
paix dans l'immédiat, et après dans les jours suivants, si le président
"monarque" le désire pour se faire "mousser" indirectement,
les recevoir sans obligation de leur part à l’Élysée sous les flash des médias,
bien sur aussi pour faire plaisir à tout le monde)
jdeclef20.04.2014 -
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