Capture d'écran - Le président français
François Hollande s'adressant à la nation sur les chaînes de télévision depuis
l'Élysée, le 26 mai 2014, au lendemain des élections –
«Ce vote, c'est une défiance à l'égard de l'Europe, qui inquiète plus qu'elle ne protège. C'est une défiance à l'égard des partis de gouvernement, de la majorité, comme de l'opposition», reconnaît François Hollande.
Plus tôt, le Premier ministre invité de RTL, avait affirmé sa volonté de «ne pas de changer de route», excluant toute démission ou dissolution de l'Assemblée. Il s'était aussi prononcé pour de nouvelles baisses d'impôt mais son entourage a ensuite précisé qu'il ne s'agissait pas d'annonces.
Européennes: Après la victoire du FN, Hollande garde le cap
POLITIQUE - François Hollande a reconnu une «vérité douloureuse» lundi soir...
La géographie du vote aux européennes confirme la forte poussée, déjà entrevue aux municipales, du Front national sur l'ensemble du territoire. Tandis que François Hollande a reconnu une «vérité douloureuse» lundi soir, au lendemain de la victoire du Front national aux élections européennes, 20 Minutes fait le point sur la journée marquée par un séisme politique.Le Parti socialiste en crise, mais Hollande maintient sa ligne de conduite
Grand perdant du scrutin, qui lui vaut son plus mauvais score à des élections européennes, le PS est en crise, certains doutent de la capacité de François Hollande à retrouver la confiance des Français d'ici 2017. Le président a réagi lundi soir, reconnaissant la vérité mais assurant maintenir la «ligne de conduite» du gouvernement qui, selon lui, ne peut pas «dévier en fonction des circonstances». Il a ainsi annoncé que la réforme territoriale, qui suscite nombre de débats dans la majorité comme dans l'opposition, sera «présentée dès la semaine prochaine».«Ce vote, c'est une défiance à l'égard de l'Europe, qui inquiète plus qu'elle ne protège. C'est une défiance à l'égard des partis de gouvernement, de la majorité, comme de l'opposition», reconnaît François Hollande.
Plus tôt, le Premier ministre invité de RTL, avait affirmé sa volonté de «ne pas de changer de route», excluant toute démission ou dissolution de l'Assemblée. Il s'était aussi prononcé pour de nouvelles baisses d'impôt mais son entourage a ensuite précisé qu'il ne s'agissait pas d'annonces.
La constante se vérifie chez nos
présidents de la république, et notamment les deux derniers, issus des partis
ringards UMP/PS depuis la crise de 2008 (et
même avant)!
Une certitude bornée dans leurs soit
disant "caps" dont ils ne veulent pas dévier "droits dans leurs
bottes" alors qu'ils ne s’étonnent surtout pas, quand ils ne sont pas
réélus après et pourtant ils en redemandent souvent sans manquer d'air!
F.Hollande ce sentait obligé de
s'exprimer après cette déconfiture historique pour un président français, en
plus en faveur d'un parti d'extrême droite avec sa cote de popularité inexistante,
soit un désaveu caractérisé de nos concitoyens y compris les abstentionnistes!
Mais hélas il n'a aucun amour propre (il l'a d'ailleurs aussi même montré avec
ses histoires privées rocambolesques) et nous lui avons confié notre destin
et celui de la France?!
S'il avait eut un peu de noblesse (autrement que de façade) avec un rejet
de sa politique pareil, il aurait pu dire au moins déjà aux français qu'il ne
se représenterait pas à l'issu de son quinquennat puisque élu régulièrement
pour 5 ans légitimement jusqu'en 2017!
Il savait la défaite annoncée il
aurait pu préparer un discours différent avec des annonces modifiant sa ligne
de conduite politique, mais non il n'a fait qu'un "copier coller" de
péroraison déjà entendue sans un iota de variante, et il a continué de fait de
se moquer et à ne pas écouter les français
(malgré
"le nez dedans et ne pas vouloir sentir que cela sentait très
mauvais"!)
C'est inconcevable, et dommageable
pour la France les français et l'Europe bien sur!
jdeclef27.05.2014 -
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