mercredi 14 mai 2014

UNE JEUNE JOURNALISTE TUÉE PAR LA BARBARIE D'UNE AFRIQUE ENCORE MOYENÂGEUSE HÉLAS!


Photo de Camille Lepage, prise le 21 février 2014 à Damara.


 





La double page réalisée par Camille Lepage  juste avant l'intervention française en Centrafrique

Camille Lepage, une jeune journaliste française tuée pendant un reportage en Centrafrique

MONDE - «Tous les moyens nécessaires seront mis en œuvre pour faire la lumière sur les circonstances de cet assassinat», précise l'Élysée...(bla-bla habituel…)

Six mois après l'assassinat de deux reporters de RFI au Mali, une autre journaliste française, la photographe Camille Lepage, 26 ans, a été tuée alors qu'elle effectuait un reportage en République centrafricaine (RCA), en proie depuis des mois à des violences intercommunautaires.
Le président François Hollande, qui a lui-même annoncé mardi soir dans un communiqué le décès de la jeune femme originaire d'Angers, a ensuite indiqué à la presse depuis Tbilissi que Camille Lepage était «sans doute tombée dans un guet-apens».
«Cela date de deux jours. Camille Lepage était en compagnie des (milices) anti-balaka pour son reportage. Ils seraient tombés dans une embuscade certainement tendue par des éléments armés qui écument la région. Elle a subi des tirs et les anti-balaka ont remonté le corps ainsi que ceux de leurs compagnons. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de son décès», a expliqué à l'AFP une source militaire française, qui a demandé à rester anonyme.

Une patrouille a découvert le corps

François Hollande a promis de mettre en oeuvre «tous les moyens nécessaires pour faire la lumière sur les circonstances de cet assassinat et retrouver les meurtriers».
Selon l'Élysée, c'est une patrouille de la force de pacification française Sangaris qui a découvert la dépouille de la photographe lors d'un contrôle sur un véhicule conduit par des éléments anti-balaka, dans la région de Bouar (ouest), près du Cameroun et du Tchad. C'est dans cette zone que des combats avaient opposé la semaine dernière un détachement de la force Sangaris à une colonne lourdement armée qui l'avait attaqué.

De voir une si jeune fille se faire tuer pour nous informer, des événements ou actions menées dans cette Afrique c'est extrêmement malheureux:

Alors que les africains eux mêmes n'arrivent pas à gérer leur pays, c'est encore plus triste que de voir nos soldats tomber, et dont c'est le métier de combattre et essayer de pacifier une partie d'un contient qui a un potentiel, mais dont certains peuples ou ethnies souvent pauvres le composant ont du mal à ce sortir d'une féodalité moyenâgeuse, malgré leur indépendance depuis plus de 50 ans et en plus pollué par des sectes ou religions extrémistes et une corruption endémique par leurs dirigeants pseudo dictateurs pour certains !

jdeclef14.05.2014 -

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire