Photo de Camille Lepage, prise le 21 février 2014 à Damara.
La double page réalisée par Camille Lepage juste avant l'intervention française en
Centrafrique
Camille Lepage, une jeune journaliste française tuée pendant un reportage en Centrafrique
MONDE - «Tous les moyens nécessaires seront mis en œuvre pour faire la
lumière sur les circonstances de cet assassinat», précise l'Élysée...(bla-bla habituel…)
Six mois après l'assassinat de deux reporters de RFI au Mali, une autre
journaliste française, la photographe Camille Lepage, 26 ans, a été tuée alors
qu'elle effectuait un reportage en République centrafricaine (RCA), en proie
depuis des mois à des violences intercommunautaires.
Le président François Hollande, qui a
lui-même annoncé mardi soir dans un communiqué le décès de la jeune femme
originaire d'Angers, a ensuite indiqué à la presse depuis Tbilissi que Camille
Lepage était «sans doute tombée dans un guet-apens».«Cela date de deux jours. Camille Lepage était en compagnie des (milices) anti-balaka pour son reportage. Ils seraient tombés dans une embuscade certainement tendue par des éléments armés qui écument la région. Elle a subi des tirs et les anti-balaka ont remonté le corps ainsi que ceux de leurs compagnons. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de son décès», a expliqué à l'AFP une source militaire française, qui a demandé à rester anonyme.
Une patrouille a découvert le corps
François Hollande a promis de mettre en oeuvre «tous les moyens nécessaires pour faire la lumière sur les circonstances de cet assassinat et retrouver les meurtriers».Selon l'Élysée, c'est une patrouille de la force de pacification française Sangaris qui a découvert la dépouille de la photographe lors d'un contrôle sur un véhicule conduit par des éléments anti-balaka, dans la région de Bouar (ouest), près du Cameroun et du Tchad. C'est dans cette zone que des combats avaient opposé la semaine dernière un détachement de la force Sangaris à une colonne lourdement armée qui l'avait attaqué.
De voir une si jeune fille se faire
tuer pour nous informer, des événements ou actions menées dans cette Afrique
c'est extrêmement malheureux:
Alors que les africains eux mêmes
n'arrivent pas à gérer leur pays, c'est encore plus triste que de voir nos
soldats tomber, et dont c'est le métier de combattre et essayer de pacifier une
partie d'un contient qui a un potentiel, mais dont certains peuples ou ethnies
souvent pauvres le composant ont du mal à ce sortir d'une féodalité moyenâgeuse,
malgré leur indépendance depuis plus de 50 ans et en plus pollué par des sectes
ou religions extrémistes et une corruption endémique par leurs dirigeants pseudo
dictateurs pour certains !
jdeclef14.05.2014 -
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