Illustration d'une foule avec un drapeau
européen.
Pour 42% des Français cette appartenance est «plutôt une bonne chose», pour 9% une «très bonne chose». 28% considèrent au contraire que c'est «plutôt une mauvaise chose», et 10% une très mauvaise chose, 11% ne se prononçant pas.
Le scepticisme quant aux bienfaits de l'appartenance de la France à l'Union se manifeste en premier parmi les catégories les moins favorisées, à savoir les ouvriers (30% estimant que c'est une bonne chose). A l'inverse le soutien est bien plus fort chez les cadres (78%) et les retraités (62%).
Le sentiment que suscite de prime abord l'Union européenne est pour près d'un sondé sur deux l'inquiétude (48%). Seuls 18% des sondés se disent d'abord confiants, et 2% «enthousiastes» (13% indifférents et 10% hostiles).
Il y a dix ans, les «enthousiastes» et les «confiants» représentaient 46% des personnes interrogées, et les «inquiets» 39%. «Si cette confiance s'était déjà amenuisée en 2009 (34%, -12 points par rapport à 2004), l'enlisement de la crise et le déclenchement de celle des dettes souveraines ont nettement accentué cette baisse», analysent les auteurs de l'étude.
Europe: Une courte majorité de Français favorables à l'appartenance à l'UE
SONDAGE - Seuls 51% des Français sont favorables à l'appartenance de la France à l'Union européenne...
Seuls 51% des Français sont favorables à l'appartenance de la France à l'Union, ce qui constitue une proportion stable par rapport à l'an dernier (52%) mais en nette baisse par rapport à 2004 (67%), selon un sondage Institut CSA/BFMTV/Groupe Nice-Matin publié jeudi soir.Pour 42% des Français cette appartenance est «plutôt une bonne chose», pour 9% une «très bonne chose». 28% considèrent au contraire que c'est «plutôt une mauvaise chose», et 10% une très mauvaise chose, 11% ne se prononçant pas.
Le scepticisme quant aux bienfaits de l'appartenance de la France à l'Union se manifeste en premier parmi les catégories les moins favorisées, à savoir les ouvriers (30% estimant que c'est une bonne chose). A l'inverse le soutien est bien plus fort chez les cadres (78%) et les retraités (62%).
Une confiance qui s'amenuise
Les plus europhiles sont les sympathisants du MoDem (81%), devant ceux d'EELV (79%), les socialistes (73%) et les partisans de l'UMP (63%). Les eurosceptiques sont majoritaires au Front de gauche (46% pour qui l'appartenance à l'UE est une mauvaise chose contre 37% pour qui elle est une bonne chose) et au FN (80% contre 12%).Le sentiment que suscite de prime abord l'Union européenne est pour près d'un sondé sur deux l'inquiétude (48%). Seuls 18% des sondés se disent d'abord confiants, et 2% «enthousiastes» (13% indifférents et 10% hostiles).
Il y a dix ans, les «enthousiastes» et les «confiants» représentaient 46% des personnes interrogées, et les «inquiets» 39%. «Si cette confiance s'était déjà amenuisée en 2009 (34%, -12 points par rapport à 2004), l'enlisement de la crise et le déclenchement de celle des dettes souveraines ont nettement accentué cette baisse», analysent les auteurs de l'étude.
Pourquoi le français croiraient-ils
plus à l'Europe alors qu'ils ne croient plus à leurs politiciens qui dirigent
la France et donc à leurs représentants aux niveaux européens?
Ces mêmes dirigeants d'ailleurs qui ne
sont pas capables de leur expliquer en terme simple le fonctionnement de cette
Europe que les français voient divisée d'ailleurs et ne savent pas non plus
leurs montrer les avantages d'être dans l'Union Européenne et d'avoir une
monnaie unique, (que d'ailleurs à titre
d'exemple notre ministre des finance s’ingénie à dire qu'il a un cours trop
haut qui dessert la FRANCE?)
Et aussi ou les pays composant cette
Union Européenne ne sont pas tous logés à la même enseigne ou l'on dit aussi
que l'Allemagne tire les ficelles ou d'autres profitent de dérogations diverses
et ont même gardés leurs monnaies d'origine ou l'on doit subir les dictats des
lois de la commission européenne de Bruxelles en limitant notre souveraineté
etc etc..!
Pour tout cela, pour les français
lambda qui n'y voient pas assez d'avantages et trop d'inconvénients et comme
nos dirigeants qui nous mentent déjà beaucoup sur notre politique intérieure
n'arrivent plus à convaincre et bien ils se méfient, on peut les comprendre
et le montreront encore dans les
prochaines élections!
jdeclef09.05.2014 -
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