Le logo d'Alstom, le 2 mai 2014 à Montpellier
Auparavant, le matin à 09h40, le président de la République réunira à nouveau le chef du gouvernement Manuel Valls et les ministres Arnaud Montebourg (Économie) et Ségolène Royal (Écologie, énergie) qu’il a reçus jeudi à 20h pour «discuter et analyser les offres sur la table», a-t-on ajouté de même source.
Ces nouvelles réunions se tiendront après que l’Américain General Electric a présenté jeudi une offre améliorée pour le rachat des activités énergie du groupe français, convoitées également par les groupes allemand Siemens et japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) qui ont fait alliance.
Jeff Immelt, patron de GE, a fait lui-même le déplacement à Paris avec dans ses bagages cette nouvelle proposition: en sus des 12,35 milliards d’euros en numéraire déjà sur la table pour les activités énergie d’Alstom, il veut créer trois coentreprises à parité (turbines à vapeur, réseaux et énergies renouvelables) et céder au Français son activité de signalisation, selon un communiqué.
Le dirigeant de Siemens en France, Christophe de Maistre, a sans surprise jugé jeudi que l’offre de son groupe et de MHI pour Alstom était «supérieure» à celle de General Electric (GE), même améliorée.
Alstom: Hollande reçoit vendredi les dirigeants de GE et de Siemens/Mitsubishi
ÉCONOMIE - Il réunira plus tôt Manuel Valls et les ministres Arnaud
Montebourg et Ségolène Royal pour «discuter et analyser les offres sur la
table»...
François Hollande recevra successivement
vendredi en début d’après-midi à l’Élysée les dirigeants de General Electric et
de Siemens/Mitsubishi, candidats au rachat des activités énergie du groupe
Alstom, a annoncé l’Élysée.Auparavant, le matin à 09h40, le président de la République réunira à nouveau le chef du gouvernement Manuel Valls et les ministres Arnaud Montebourg (Économie) et Ségolène Royal (Écologie, énergie) qu’il a reçus jeudi à 20h pour «discuter et analyser les offres sur la table», a-t-on ajouté de même source.
Trois coentreprises à parité
«Les travaux techniques continuent ce (jeudi) soir entre les services compétents», a également informé également l’Élysée.Ces nouvelles réunions se tiendront après que l’Américain General Electric a présenté jeudi une offre améliorée pour le rachat des activités énergie du groupe français, convoitées également par les groupes allemand Siemens et japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) qui ont fait alliance.
Jeff Immelt, patron de GE, a fait lui-même le déplacement à Paris avec dans ses bagages cette nouvelle proposition: en sus des 12,35 milliards d’euros en numéraire déjà sur la table pour les activités énergie d’Alstom, il veut créer trois coentreprises à parité (turbines à vapeur, réseaux et énergies renouvelables) et céder au Français son activité de signalisation, selon un communiqué.
Droit de veto de l’État français
Point crucial: dans l’alliance à 50-50 dans les turbines à vapeur, l’État français aurait un droit de veto dans le domaine de la sécurité et «des droits de gouvernance spécifiques».Le dirigeant de Siemens en France, Christophe de Maistre, a sans surprise jugé jeudi que l’offre de son groupe et de MHI pour Alstom était «supérieure» à celle de General Electric (GE), même améliorée.
Encore des bla-bla stériles du
président qui ne saura pas faire les bons choix en matière industrielle et économique,
car ce n'est qu'un "politicien pur jus, produit de l'ENA" qui n'a jamais gouverné ni n'a pas été même
ministre à quelque stade que ce soit,
qui n'a jamais connu l'entreprise, qui n'a pas su s'entourer de bons conseiller,(d'ailleurs il n'y a pas que lui chez nos
présidents, c'est souvent leurs principaux défauts!)
Donc semble-t-il Général Electric, le
1er à s’être porté candidat au rachat de d'Halstom tient la tête, à moins que
pour sauver les meubles que l'état entre au capital avec un pourcentage
sensible ou bien qu'il utilise ce que:
La France appelle par sa "loi sur
se droit de veto" pour arbitrer l'avenir d'Alstom (qui étend un dispositif de protection mis en place par un précédent
décret de 2005, sous la droite)
(De toute façon quelque
soit le résultat A.Montebourg servira de fusible, il est déjà sur la sellette,
mais çà, c'est sans importance!)
Quand on voit ce qui s'est passé pour
Florange et ARCELOR MITAL et les paroles de F.HOLLANDE " qui disait
:"Je suis prêt à déposer une proposition de loi"...
Les salariés comme toujours seront
toujours les premiers à plaindre et à payer les conséquences, car nous n'avons pas de gouvernants à poignes
à la hauteur!
jdeclef20.06.2014 -
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